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On reprend la route au petit matin : 400 km au
programme, la journée y passera, et celle du lendemain en
partie ...
C'est une route de montagne, ça tourne, ça
monte, ça descend, le véhicule est poussif. Le chauffeur
nous en fait voir. En plus, il faut éviter les enfants et
les zébus, les poulets, les engins en tous genres qui
encombrent le macadam.
Pause musicale et filet de zébu dans un petit
rest'o bien tenu dans un village dont on a oublié le nom.
Il faut rester à droite dans le virages car on
n'est pas seul sur la route, mais ce n'est pas naturel pour
le chauffeur. Il se fera tancer plusieurs fois et finira par
obtempérer.
Les jeunes bergers gardent un troupeau bien
docile. Au petit matin, il fait frais.
Les paisibles bêtes ont de longues cornes.
Les paysages sont changeants.
La salle de bain et la buanderie sont à l'extérieur.
Les séances photos nous font prendre du
retard, mais bon.
Dès que c'est possible, le malgache cultive,
et en particulier le riz, à la main le plus souvent.
On arrive enfin à l'embranchement attendu.
La piste semble praticable.
Les habitants sont isolés.
Une digue incongrue barre une rivière. Il faut
encore contourner un massif.
La falaise apparait enfin.
De loin, la verticale de 800 mètres n'en fait
pas tant.
Finalement, ces 20 km de piste ont été avalés
facilement ...
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