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2003

Le printemps est nul, l'été aussi. Fin août, on ouvre le bal. Je me pose à Melgven après être allé claquer des dents à 1880 m (hors nuage), Didou se pose avant Beg Meil, Zicare et Bruno après Concarneau.

Autre beau coup : Christophe se pose à Ste Anne d'Auray 110 km et Richard au Faouët 60 km !

Sougéal : Christophe fait 88 km en PP, puis Thierry Gasc 130 km atteint les faubourgs de Lorient.

2002

Pour sa journée de reprise, il est parti deux fois dans la même journée du site de Kervigen. Après s'être posé à Breugnou ce samedi 20 avril, il est reparti vers le Ménez-Hom où il s'est posé battant ainsi le record de distance. Il est monté à 800 mètres. Avec 300 m au dessus du sommet, il aurait pu filer vers Rosnoën mais voulait en garder pour plus tard. Il, c'est Mino.

Rééditant malgré une nuit très courte l'exploit ce dimanche 12 mai, il en a énervé plus d'un, dont moi, arrivé un peu tard because rangement de la salle ou nous avions fait la fête la veille et le matin. Vers 14 heures, il y avait des cumulus partout, et les goélands indiquaient la position des thermiques. Le jeu consistait à monter face au vent bien présent alors qu'il était nul à 9 heures. Ayant gagné 200 mètres environ après avoir enroulé avec Alain Guilloux, je l'ai suivi par en dessous en me demandant où ça pompait. Heureusement que l'on ne se demande pas où ça pose. Jean Marie Charlier, au dessus de la maison, à 500 mètres d'altitude environ, sans vario, ni radio, et encore moins de téléphone ou de GPS tournait, bien placé sous un petit joufflu. A St Nic, ayant rejoint la position de Jean-Marie un peu plus haut, j'étais à 600 mètres. Alain filait vers le Ménez-Hom, confortablement installé à 1000 mètres. Il a rejoint le Belvédère de Rosnoën après une branche vent de travers, discutant avec Bruno notre cuistot parti lui vers la côte nord, tandis que je me posais style hélico. En marchant vers ma récup rapide, j'ai entendu Alain annonçant un posé vers les Monts d'Arrées. Le vent forcissant, il a préféré écourter le vol alors que ça pompait partout.

Records d'Aron - 14 juillet 2002

Alors autant le dire tout de suite, ce fut grandiose ! L'étude des informations météo du week-end nous avait poussés à nous déplacer plus tôt dimanche et nous n'avons pas regretté de rater le défilé à la télé. Rendez-vous chez Thierry (Rennes) à 11H15, les cumulus sont déjà visibles, le vent pas trop fort, et ça chauffe un peu. L'équipe se compose de Thierry (incontournable dès qu'il y a un "créneau"), d'Eric qui sait flairer les bonnes journées, et de moi, sans oublier Jean-Luc, notre récupérateur de luxe, toujours au rendez-vous. Le temps de tout installer sur la voiture d'Eric, il est 11H45... Direction Aron. En chemin, on plaisante avec Eric car l'ordinateur de bord indique 500 km à faire avant de faire le plein et on se dit que le top du top serait qu'on soit obligé de faire le plein avant la fin de journée.... Arrivée 1 heure + tard, le ciel est toujours aussi beau, on commence à se dire que ça pourrait réellement être une belle journée. J'ai rarement vu les ailes montées aussi vite à Aron. Eric décolle le premier vers 13H25 et prend illico la direction des nuages. Thierry suit quelques minutes plus tard mais reste à zoner assez bas. Je décolle vers 13H40, au moment du largage, je vois arriver la voiture de Jeff, le local de l'étape, qui nous prend quasiment pour des fous d'avoir décollé si tôt. Le temps que je fasse mon premier plafond, déjà une dérive de 4 ou 5 km, Eric annonce 20 km au compteur, Thierry se pose à la base (et repart presque aussitôt), et Jeff finit de monter son aile. La configuration de la journée est posée : Eric devant nous annonce sa progression (motivante) je suis comme je peux (en perdant du terrain), Thierry se lance à notre poursuite, et Jeff finit par se mettre en l'air, mais on ne sait pas trop ou car sa radio est quasi inaudible, ou plutôt incompréhensible... mais très "sonore". Les thermiques sont assez nombreux, les plafonds de début d'après midi culminent environ à 1700 m QNH. Les annonces de type "30 km de la base, 1200, +2" se succèdent à la radio, Eric augmente son avance, je traîne un peu et Thierry commence à me rattraper. Après 1H45 (??) de vol à peu près, Eric annonce qu'il est posé à 61 km de la base. Je commence à rêver de faire aussi bien que lui mais j'en suis à peine à la moitié... Avec un pilote à + de 60 km, la journée est déjà très bonne. Donc, je m'accroche, j'ai Eric en point de mire et Thierry qui me court après, des points bas arrivent, mais la journée est généreuse et j'ai la chance de m'en sortir plusieurs fois. C'est en passant les 61 km vers 1 800 m que je réalise que la journée est plus que bonne. Thierry, comme un métronome annonce position/cap/alti/vario comme un pro et me talonne ... en distance, mais pas tout à fait sur le même axe, Et Jeff est en l'air quelque part. Le temps passe, le paysage change ... On apprend que Jean-Luc nous suit avec la voiture et qu'il va récupérer Eric. Tout va bien, on va voir jusqu'ou on peut aller. Et là, ça devient magique, je commence à voir de + en + de vignes, de belles propriétés, et Eric me demande si je vois la Loire (j'y pensais même pas). Eh ben elle est là ! Enfin, là bas, un peu plus loin, mais je la vois ... et paf le GPS qui m'annonce que la barre des 100 km est tombée. Je suis en l'air depuis 3 heures. Je me dis que passer la Loire serait un beau moyen de finir la journée. Thierry a parcouru a peu près la même distance mais est une vingtaine de km à l'est et surtout beaucoup plus haut. Je passe la Loire avec moins de 400 m, à hauteur d'Ancenis et je grenouille encore quelques temps dans les basses couches pour finalement me trouver un petit champ bien orienté le long de la D23 entre Landemont et St Laurent des Autels, une douzaine de Km au sud d'Ancenis. La cerise sur le gâteau : un poser tout en douceur, l'aile qui se pose doucement sur les épaules. Le GPS annonce 124 km ! Mon record précédent était de 65 km. Il est 17H25, j'ai volé 3H45. Le temps de replier doucement, de me localiser sur la carte, je passe un coup de fil à Eric qui m'annonce que Thierry et Jeff sont toujours en vol (il est près de 18H30) et à + de 150 km de la base. Comme je suis sur le chemin du retour, je serai récupéré le dernier ... pas grave, de toute façon, avec un vol comme ça, j'ai la banane. Ah, un petit détail quand même, évitez Landemont le dimanche soir, y'a pas un troquet d'ouvert. C'est vers 20H00 que je reçois des nouvelles de Thierry et Jeff. Thierry est à 182 km (sud de La Châtaigneraie, cap 188 de la base) de la base et Jeff à 178 km (Nord de Parthenay), mais nettement + à l'est d'ou une récup galère. Petit message en passant, la récup, c'est chacun son tour un récupéré doit aussi être récupérateur. Je verrai (avec bonheur) arriver la voiture vers 22H15, retour chez Thierry vers minuit (champagne).

Pascal.

Fin d'été au Ménez : Super Didou s'est posé à la Torche après 2 heures de vol le dimanche 25 août. Récup facile puisque le défricheur du site des éoliennes alias Pascal le Baut venait de se poser en paramoteur et rentrait à la maison. Le groupe lancé à sa poursuite s'est dispersé après le Ris. Après 1H30 de soaring, les derniers chasseurs se sont posés un peu dépités lorsque le vent s'est calmé. C'était le calme avant la dernière salve due à une rentrée de vent fort de NE.

2001

Après l'hiver, nous avons eu le printemps ! Presque classique sauf qu'il a tardé, mais lorsque le soleil et le vent de nord sont revenus, ça a donné. En 1 mois et demi, notre René a tracé plus de 350 km de promenades aériennes, soit 7 fois le trajet du Ménez à Pemmarc'h qu'il a atteint avec Bruno lors d'une journée réservée aux hommes. Les passages au dessus de Plomodiern ont été si nombreux ce jour là que ses habitants ont cette fois remarqué les voiles.

Nos compétitions ont été des réussites parce que 4 des 5 journées ont été validées (en proportion plus que lors des compétitions fin juin en Sierra Névada), et parce que nous avons baptisé un site.

Du Ménez-Hom, il fallait se poser ce 19 mai à Pouldergat. Ciel couvert, il faut s'accrocher à tout. Progression groupée, chacun surveille le voisin. Le passage de Douarnenez est fatal à plus d'un. Pascal Leclerc finit en soaring sur les falaises du Ris. Deux pilotes passent le but, se posent à Pouldreuzic et La Torche. René gagne parce qu'il a passé le but avant moi, mais je suis allé plus loin. Le lendemain, du Bois du Chap (!), René passe le but et gagne la compétition.

Du Bois du Chap encore, le 2 juin, il fallait aller vers Audierne. Vent nul. Trois pilotes seulement s'échappent du site après des 1300 m au dessus du déco. Zig zag dans le Porzay pour éviter Douarnenez ou survoler le port. La brise de mer nous bloque dans notre progression. Le lendemain, par vent nul de sud-est, de Tuchenn, il fallait rallier Plouvorn. Un normand nous fait la nique. Plafond à plus de 2000 mètres. Thermiques généreux pour ceux qui sont en l'air: du + 7,4 m/s pendant 20 secondes, du jamais vu. La brise de mer bloque à nouveau les pilotes à quelques kilomètres du but. Je gagne la compète !

Vent de nord en ce mois de juin, Gwénolé et Christophe ont fait leurs premières échappées, se posant au Croéziou et Plogonnec. Ils l'ont fait en parapente, mais bientôt le feront en delta !

Le challenge vol libre du Cht de F de CV était de se poser à la plage. Facile ! Sauf que ce 6 juillet, la brise rentre fort. Le vent est travers, mais on entend causer à la radio. Je monte vers 15 heures, Alain prend du + 4 m/s. René se posera sur le sable, Alain est à 200 mètres car la dérive était trop forte. C'est sans trop de difficulté que je prend de la hauteur, pourtant, les conditions au déco ne me semblent pas des meilleures. C'est bien parce que je vois des ailes dans le ciel que je pense que ça monte. Mais ça monte où ? Le thermique est faible, étroit, je zigzague en m'avançant. vers le nord-ouest. La page est inaccessible au sud-ouest. J'ai pris 800 m, un cumulus gonfle vers St Nic, j'y vais. Ca chute moins au bout d'un instant, voire ça remonte un peu. Détour par Pentrez, survol des baigneurs, j'arrive au dessus de la compétition, et je prends quelques photos. Un autre arrive, et René pour son second essai se pose à Ste Come. Etonnant non !

En ce 15 juillet, à 8H30, je laisse Luc aller s'installer. Je briefe mes ouailles, les petits soarings se finissent en bas de pente, et au dernier, ils plient. Luc prend de la hauteur, et se pose au parking. Les premiers pilotes arrivent en ce milieu fin de matinée, mais les cours sont terminés car le vent forcit, les cumulus se développent généreusement surtout au nord et vers Châteaulin. Mes corses sont là, et se mettent en l'air. André ne recule pas vraiment, enfin, pas toujours. JY arrivé à moto est reparti chercher sa voile. Didou se pointe, les prévis sont à la baisse du vent. Derrière le pare-brise du C25, j'attends un peu avant de descendre car ça ne me semble pas être une journée volable. M'enfin ? René part avec son gros sac, quelques daltons en font de même. Je descends manger un morceau, faire un brin de sieste, jouer avec mon PC. Pendant ce temps, ils se mettent en l'air, preuve que c'est raisonnable. Fermeture, le pilote de dessus fait mine de rejoindre celui du dessous. Gag évité ? Ils partent en cross. Qui voit que les cumulus sont congestus ? Un très jeune pilote n'a rien à y faire, mais s'essaye au jeu. A la radio, j'entends que Didou est à 1000 m. Diable ! Il va être 16 heures, l'activité baisse, je vais voir. Effectivement, malgré le vent travers (=sud-ouest), des pilotes sont en l'air. J'étale mon jouet, le vent s'est un peu calmé, ça va être le moment. Déco, ça monte tout droit, fermeture, c'est par là. En quelques minutes, je suis en haut. Il me suffit d'avancer. Stéphane à ma gauche fait les z'oreilles, Didou est descendu. J'évite un gros noir, mais celui là, devant, est trop gros. Cap au nord, ça chute et c'est très bien. Séance photo (le site de Rosnoën), et je rentre. A 35 km/h, et ce pendant 1 heure, ça fait un triangle de 35 km comme dirait Averell ! Posé dans les bruyères, je papote avec Claude Ebrard qui considère que ça secoue trop ! Je redécolle, un voile est venu tout calmer, mais ça monte encore. Je croise Emile qui fait les oreilles et vais presque jusqu'au rochers d'Argol. Alors, pas de blessés ? C'était donc une belle journée. Euh, c'est quoi ces gros orages dans le sud de la France ?

2000

Belle fin d'année. Jour de compète ce samedi 16 septembre. Plus de 25 ailes en l'air ensemble, le vent dans le bon sens, des thermiques, une grappe s'en va. Le but est atteint ou dépassé, trois pilotes s'en vont vers Languidic et Lanester. 

Dimanche 6 août : Bulle du soir, espoir. Je la coince, d'autres me suivent. Dédé me prend en photo alors que l'on approche de l'Aulne. Christophe surveille l'état de mes bouts de plumes. Au retour, Dédé Rose veut faire la course. Y'avait aussi Bruno, Thierry, Guénolé, mais pas René qui traînait dans les kékés. 

Samedi 13 mai, de Rosnoën, en sud, Bruno s'échappe vers la côte : 50 km !

Dimanche 11 mars : Est faible. Des bulles. Une suffit à René et J-Luc pour aller vers Pont de Buis et Trégarvan.

Dimanche 5 mars : Sud faible. A Rosnoën, Bruno surveille du haut, d'autres attendent le cycle en frôlant les arbres. Les spectateurs sont ravis. A Kervigen, vol de reprise pour Pascal et un deltiste. Finalement, Bruno se pose 48 km plus loin ! Zicare prend le taxi pour revenir de Landivisiau ! ! !

Samedi 4 mars, N-NE au Ménez-Hom. Bruno s'en va à Douarnenez. Les autres habitués tournicotent et profitent de la vue. Le clan Pérennec est au complet, avec femmes et enfants dont la petite dernière qui vient voir sa maman décoller. Un de nos Jean-Yves a fait son premier cross, et Laurent a failli le faire. Y'a même un delta ! Ghislain est un peu pompé et rampe dans les ajoncs.

Le 9 janvier, N-NE au Ménez-Hom, J-Robert monte plus haut que les autres. 
Moralité, la Mérick, c'est chic ...

1999

Le mercredi 15 septembre, au nord de Nantes, départ au treuil, survol de la Brière par Thierry Mouton (Topless) et des cross de 30 à 40 km pour les chiffons.

Ménez-Hom, le 14 septembre 1999, fin de saison : Fred, Nigel et Sylvie se sont posés à Plonévez (10 km), Zicare à Quimper (25 km), Bruno à l'Ile Tudy (42 km), et moi à Beg Meil (48 km).

Ménez-Hom, le 13 septembre 99 : Zicare rate l'atterro au sommet, se pose à Quimper (25km).

Rosnoën, 12 septembre 1999 :  Zicare (Vertex) s'est posé sur le terrain de golf de Bégard, au nord de Guingamp soit un vol de 81 km. Plafond à 1500 mètres, petites ascendances, trois heures de vol.

Sougéal, le  ...  1999 :  Alain Guilloux a volé 22 km en biplace (E2RA) avec ?

Ménez-Hom, le 16 août 99: Bruno Deyres (Oméga 4) vient de mettre tout le monde d'accord  en reliant le Ménez-Hom à Ploërmel soit un vol de 135 kilomètres ! Le vent d'ouest était fort. Après un décollage à l'endroit classique, Bruno s'est dirigé vers "la carrière". "Scotché", il lui a fallu attendre un thermique assez continu pour grimper un peu et se laisser emporter par la rue.  Une 1/2 heure plus tard, il était à Chateauneuf du Faou ... Il a volé 3H15, et s'est posé en marche arrière ! Photo Emile Touber.

Sougéal,  9  juillet 1999 : Le record de Bretagne en parapente (Mérak) a été établi à 110 km  par Alain Guilloux du site de Sougéal (35). 3H15 de vol, 1700 mètres de plafond, une frayeur au dessus de Jugon les Lacs. Récup par Zaza qui écoutait à la radio depuis Erquy.

Sougéal fin juin: Alain Guilloux (Mérak) a volé 95 km. C'est Alain Berthy qui se colle la récup puisque JC Legrand est parti également pour 30 km. Ce sont les vaches qui ont surveillé le treuil !

Ménez-Hom, mai 1999. Beau début de saison ! Ghislain (XMX) énerve tout le monde en se posant vers Quimperlé soit environ 60 kilomètres.

1998

Ménez-Hom, juillet 1998: Philippe Marzin (F1) se pose après Vannes soit un vol de de 135 km en aile delta  ce qui est aussi le record de Bretagne.

 

1997

Compète à St Michel de Brasparts, + 6 au départ d'une distance sur axe, je me pose à Lestrevet. René s'écarte de l'axe et se pose dans le pays Bigouden soit environ 60 km !

Ménez-Hom, juillet 199x, Bernard Moullec (FZ) se pose après Pontivy soit un vol de de 105 km en aile delta ce qui est aussi le record de Bretagne.

1996
1995
1994
1993
1992

Ménez-Hom : Septembre 1992, vent d'ouest contrarié par la brise de mer. Ca se redresse, on décolle, les deltas se posent, René en parapente (Super Storm) récupère et continue, se pose à Ploërdut dans le Morbihan et établit  le record au départ du Ménez-Hom avec 72 km.

1991

Tuchenn Kador: Je fais 24 km et me pose après le Faou. Record !

1990

1989

 Ménez-Hom : je fais mon premier cross en chiffon soit 14 km.

Ménez-Hom : Dédé s'en va sous un parapente et se pose à Ploéven. Etonnant non ?

1988
 

1987

1986
 

1985

Ménez-Hom : Bernard fait 88 km pour m'embêter !

1984

Ménez-Hom: je fais 76 km pour embêter Daniel.

1983

Ménez-Hom, juillet: Daniel Conq fait 71 km pour embêter Pampers.

1982

Ménez-Hom, juillet: Daniel Conq fait 44 km.

Ménez-Hom, juillet ?: Je vais me promener à Branféré car la MTO n'annonce rien de bon. En effet, Richard se pose à l'Ile Tudy soit 42 km. Départ difficile, mais ensuite, impossible de se poser. Je lui cède la coupe d'un challenge créé par Ronan Corbel.

Ménez-Hom, 8 mai : je m'offre mon premier cross, et le second, en compagnie cette fois de Francis Angélini ( où est-il à c't'heure ?). Premier posé au Croéziou soit 19 km, puis avant Quimper à contre pente pour 22 km. Même pas mal ! Francis a fait 15 km et un courrier à Richard qui est au Gabon dans un avion de l'aéronavale. Quatre records puisqu'en plus des km, personne n'avait pris 750 mètres de gain !

Ménez-Hom, 15 avril: Richard s'échappe pour finir en soaring à la plage du Ris soit 15 km et un nouveau record. Il se fait raccompagner (pour une fois) par une demoiselle.

1981

Richard Valbec ( X'Ray) s'échappe de St Michel de Brasparts et se pose 8 km plus loin. Je fais la récup.

197x

Christian Therville tient en l'air ! Etonnant non !

1974

Robert Ghéno décolle en delta de St Michel de Brasparts !