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Le Ménez-Hom

Le Ménez-Hom est un site naturel. Il vient d'être classé et est sur la liste des sites retenus dans le cadre de Natura 2000. Le Conseil Général est dans une démarche d'achat de terrains (environ 700 hectares).

Ce classement n'empêche pas les flammes de dévorer la lande et les arbres (2005 & 2006 pour les derniers), de cuire les crapauds et autres animaux terrestres.

Le périmètre retenu par le CG 29 inclut des tourbières à l'est du massif.

Au pied de la pente nord, on peut (pouvait) voir des droséras, petites plantes carnivores qui vivent dans les ornières humides : atterro de précision recommandé !

Les résineux qui envahissent progressivement les pentes sont voués à la tronçonneuse, ce qui en passant arrange nos affaires, surtout en pente sud devenue impraticable.

Des buissons envahissent également Roch ar Morc'h, le rocher des cochons qui au dire de l'agriculteur local, pourrait être un lieu de culte. C'est peut-être pas loin de la vérité tant le culte du cochon est un succès dans nos porcheries industrielles !

Des multiples chemins tracés par les randonneurs, les touristes, les utilisateurs du site, et les tractopelles des pompiers, quels sont ceux qui vont rester ? Un tracé circulaire permettant de passer par toutes les pentes est une idée, mais cet aménagement n'inciterait-il pas les touristes nombreux à venir se dégourdir les jambes, ce qui serait contraire à l'envie de protéger le site. En effet, qui dit touristes dit voitures, cueillette de la bruyère quand elle est la plus belle, voire sacs poubelle égarés !

Nos décollages ordinaires pâtissent parfois de notre ardeur, mais c'est le sommet lui même qui souffre le plus. Les modélistes qui piétinnent transforment la bruyère en gazon anglais, mais le sol tend à se montrer. Nous pouvons nous décaler et piétiner d'autres ajoncs le temps que la nature reprenne (un peu) de ses droits.

Les véhicules tous chemins se font discrets, mais on a vu cet été 2004 le 4 X 4 d'un modéliste.

Les militaires ne sont pas des plus respectueux. Vont-ils ramasser les cartouches vides qu'ils abandonnent par endroit ?

Les chasseurs se font discrets. La dernière fois que je les ai vus, ils prenaient les lapins au filet, ce qui a intrigué d'ailleurs un touriste qui se demandait ce qu'il était possible de pêcher sur ces terres ! C'est en tout cas une chasse peu bruyante, et on ne risque pas de se prendre un plomb dans la sellette .

Se conduire en citoyen responsable, c'est se garer sur un des parkings du sommet. Se poser dans la bouillasse à mi hauteur et écraser les rescapées, c'est réinventer le compor-tement qui était le nôtre, enfin, celui de nos prédécesseurs, avant la fermeture du parking, en 1989. Cette action est due à une initiative des moniteurs, initiative relayée par les élus de l'époque.

M'enfin, actuellement, de nombreux touristes se garant à mi route font quelques dégâts. Ceux qui continuent vers le Hielc'h ne s'arrêtent pas tous au parking. Certains montent au sommet, et quelques uns, équipés, tracent direct ! M'enfin, depuis que le GPS existe et que les égarés du Paris Dakar n'y passent plus, la végétation repousse en certains endroits. C'est visible d'en haut.

S'écarter des sentiers battus est sans doute dans l'air du temps, mais tracer sa voie n'est pas raisonnable. Depuis que nous délaissons le sommet, nous avons tracé du parking à la pente nord un chemin maintenant bien net.

Les modélistes ont créé le leur vers la pente ouest.

Cependant, quelques chemins abandonnés se refont une santé.


La faune n'est pas très visile, hormis nos alouettes qui picorent les miettes sur le parking.

J'ai revu des chevreuils vers la carrière en fin 2004. Depuis la grillade party de 1989, ils étaient discrets.

Des buzards rasent la lande, mais ne restent pas. Sont-ils réellement génés ? Ils semblent qu'ils nichent vers le Cragou ou les landes de Scaër !

Une bondrée apivore est venue faire un peu de stationnaire après la grillade party de juin 2006.

Quelques goélands viennent s'appuyer sur la pente, des corneilles passent ou se promènent, un faucon fait du sur place entre les voiles.

En voilà un qui ne semble pas être dérangé, sinoin quand il niche vers la carrière. Il se déplace à peine lorsqu'on le survole !

Les plus recherchées sont les buses que l'on entend. Ca va donner !

Quant au faucon pélerin, où est-il ?

Un habitué, qui vient promener son setter deux fois par jour, me disait, alors que je lui faisais remarquer que son AX faisait plus de dégats qu'un AMX 30, qu'une fois, il avait vu un berger allemand revenir avec dans la gueule je ne sais quel oiseau qui nichait.


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